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29 juillet 2018

INFOBREF N°514- inflation,précaires en lutte,grève a FIAT,

INFOBREF N°514

INFLATION= PAUPERISATION

Malgré tout les discours voulant nous faire croire à la stabilisation des prix. Nul n' est dupe que l'inflation à deux chiffres est de retour. Il suffit de voir les hausses de prix en cascade depuis janvier 2018 à laquelle vont s’ajouter les traditionnelles hausses de l' été.

Faisons un bref tour d' horizon de cette montée des prix depuis janvier 2018

Gaz+ 6,5% après les 73 % en 5 ans, Electricité + 17%, fuel domestique + 36%,

le Carburant +12%, PV de stationnement à Paris +130%,contrôle technique Auto+ 23%, carte grise+ 15%

assurances + 3 à 5%, mutuelle + 5%, il faut s' attendre à plus avec les inondations

timbre Poste +10%, tabac +10%, péage routier +1,3%,

forfait hospitalier + 15%, abonnement Vélib à Paris + 30%, cantine scolaire + 1 à 3%, frais bancaire + 13%, Selon l’Insee, en mai 2018, les prix à la production des fruits sont en hausse de 9,7 % sur un an surtout les pommes (+31,3 %) et aussi les fraises (+2,8 %).Ceux des légumes sont aussi en progression (+5,7 %) portés par le concombre (+57,6 %), la tomate (+18,5 %) et la salade (+15,3 %).

. Alors que le SMIC n’augmente que de 1,2% et les retraites sont en baisse de 1,7 %.

Grève. Les livreurs en lutte pendant le mondial de foot

A l'appel d'une centaine de travailleurs des différentes plateformes en ligne (Deliveroo, Ubereat, Stuart, Glovo et Foodora), une première journée de grève de ce secteur ultra-précarisé aura lieu ce dimanche.

Barbara Reiner 6 juillet 2018

Crédit photo : NICOLAS MAETERLINCK - BELGA

Nous avions déjà parlé dans un précédent article de la zone d’ombre que constituait le statut de travailleurs indépendants Le statut des travailleurs indépendants restent une zone d’ombre bien confortable, pour des entreprises comme Deliveroo ou encore Uber qui n’hésitent pas à l’utiliser pour exploiter leurs travailleurs qui ne bénéficient d’aucune sécurité à l’emploi.

Le gouvernement Macron entendait bien régler cette question, en constatant les nombreux procès intentés aux boites, comme en Espagne où Deliveroo a dû reconnaître un de leur travailleur comme un salarié de la boîte et non un travailleur indépendant.

L’amendement Taché, du nom du député LREM Aurélien Taché, discuté dans les hautes instances de l’Élysée n’entendait absolument pas sécuriser le statut des livreurs et accéder à leurs revendications pour lesquelles ils s’étaient déjà mobilisés l’année dernière mais bien permettre aux entreprises de continuer à les exploiter de manière si lucrative.

En effet, celui-ci entend libéraliser d’avantage le statut de livreur, en ouvrant la possibilité à l’entreprise d’établir une charte sans aucun contrôle extérieur. Laissant la question des conditions de travail et de la sécurité de l’emploi au bon vouloir des patrons. Seule obligation, la charte ne doit pas mentionner un rapport d’assujettissement d’une entité sur l’autre, plus concrètement, cela renforce le trait « indépendant » du statut. Un énième coup important à une profession déjà bien précarisée, décidé sans aucune concertation avec les syndicats représentatifs des livreurs. Macron n’essayant même pas de mettre les formes, quand il s’agit de travailleurs ultra-précaires.

Les coursiers des différentes entreprises de livraisons alimentaires dénoncent le manque total de protection social que leur confère le statut de travailleur indépendant, mais aussi la baisse des rémunérations, la modification des contrats, l’élargissement des distances couvertes par les livreurs.

Vivant au jour le jour la dégradation de leurs conditions de travail, une centaine de livreurs appellent à la grève pendant la dernière semaine de la coupe du monde 2018 comme signal fort « afin de faire entendre nos revendication à l’ensemble de la population ». Venant appuyé cette grève, les livreurs anglais de Deliveroo seront eux aussi en grève à partir du 13 juillet.

En raison de la difficulté de se mettre en lutte avec le statut de travailleur indépendant, les livreurs ont mis en place une caisse de grève en ligne : ici.

 

Le transfert à 100 millions d’euros de Ronaldo à la Juventus provoque une grève chez Fiat

Ce mardi 10 juillet, la star mondiale du football Cristiano Ronaldo s’est engagé à la Juventus Turin, contre 100 millions d'euros de transfert et 30 millions de salaire net par an. Des sommes folles qui ont provoqué la colère des ouvriers de Fiat, en grève du 15 au 17 juillet.

Leïla Baurie jeudi 12 juillet

grèveCrédits : Daily Mercato

Alors que la coupe du monde de football bat son plein, la famille Agnelli, propriétaire de la Juventus de Turin, à décider de s’offrir un des joueurs du Real Madrid : Cristiano Ronaldo. Le transfert a été décidé ce mardi, et le champion d’Italie à accepter de verser 105 millions d’euros pour s’assurer les services de la star portugaise, réalisant ce qui constitue déjà l’un des transferts du siècle, lui offrant par ailleurs un très confortable contrat à 30 millions d’euros net par an, et ce pour les 4 prochaines saisons. En plus d’être propriétaire du club, cette famille détient également le groupe Fiat ainsi que Ferrari. Et le moins que l’on puisse dire, c’est que les travailleurs de Fiat ont en travers de la gorge ces frasques sur le marché des transferts.

En effet, les ouvriers de l’usine de Melfi, dans la province de Potenza, n’entendent pas accepter ce transfert sans sourciller, alors que la direction ne cesse de demander des « sacrifices économiques ». C’est ainsi que le syndicat USB (Unione sindacale di base) a appelé à la grève du 15 au 17 juillet. Dans un communiqué du syndicat USB, les ouvriers se sont confiés et ont protesté contre leurs conditions de travail et contre les périodes de chômage partiel qui leur seront imposées jusqu’en 2022.

Nous relayons ci-dessous le communiqué du syndicat USB :

« Il est inacceptable que pendant que les travailleurs de Fca et Cnhi continuent de demander des sacrifices économiques énormes pendant des années, la même décision de dépenser des centaines de millions d’euros pour l’achat d’un joueur.

On nous dit que le moment est difficile, qu’il faut recourir à des amortisseurs sociaux en attendant le lancement de nouveaux modèles qui n’arrivent jamais.

Et tandis que les travailleurs et leurs familles se serrent la ceinture de plus en plus, la propriété décide d’investir beaucoup d’argent sur une seule ressource humaine !

Est-ce normal ? Est-il normal qu’une seule personne gagne des millions et que des milliers de familles n’atteignent pas le milieu du mois ?

Nous dépendons tous du même maître, mais jamais en ce moment d’énorme difficulté sociale, ce traitement inégal ne peut et ne doit être accepté.

Les travailleurs de Fiat ont fait la fortune de la propriété pendant au moins trois générations, enrichissant quiconque se déplace autour de cette société, et en retour, ils ont toujours et seulement reçu une vie de misère.

La propriété devrait investir dans des modèles de voiture qui garantissent l’avenir de milliers de personnes plutôt que d’en enrichir un seul, cela devrait être le but de qui met les intérêts de leurs employés en premier, si cela ne se produit pas parce que vous préférez le monde du jeu , amusant pour tout le reste.

Pour les raisons décrites ci-dessus, le Syndicat du Syndicat des travailleurs de la base déclare une grève à la FCA di Melfi à partir de 22h00 le dimanche 15 juillet jusqu’à 06h00 le mardi 17 juillet 2018. »

Alors que la famille Agnelli et la Juventus Turin vont empocher un pactole en termes de vente de maillot, de billets, de droits à l’image, etc., la goutte d’eau a fait déborder le vase pour les ouvriers de Fiat, bien décidé à ne pas se laisser faire.



La vie des salariés s’aggrave en France, mais aussi partout dans le monde,  les multinationales n’en n’ont jamais assez, elles courent après le profit. Partout dans le monde les salariés agissent.

Grève à Ryan air : 600 vols annulés en Europe

La compagnie aérienne à bas coût a annoncé l’annulation de 600 vols en Europe les 25 et 26 juillet en raison d’une grève du personnel de cabine en Espagne, au Portugal en Belgique et en Italie.

Ryan air ne reconnaît pour l’instant qu’au compte-goutte les syndicats représentant son personnel. Ceux qui appellent à cette grève fin juillet ne sont pas reconnus.

Les syndicats demandent notamment que la compagnie applique la législation de chacun des pays dans lesquels elle emploie du personnel et qu’elle accorde les mêmes conditions de travail aux salariés directement sous contrat avec la compagnie et à ses intérimaires.

« Ces grèves n’ont aucune justification et aucun autre but que de gâcher les vacances familiales et bénéficier à d’autres compagnies » a estimé le directeur marketing de Ryan air.

En France comme ailleurs le même discours, les salariés feraient grève pour embêter le monde…

Amazon: mouvement de grève en Europe pour le "Prime Day".

Un syndicat allemand a annoncé des actions de blocage au niveau européen chez Amazon, à l'occasion de l'opération de super-promotions "Prime Day", afin de protester contre la pénibilité des conditions de travail.

"Jusqu'à minuit les prix vont baisser et les profits vont grimper, les employés d'Amazon quitteront leur poste et manifesteront pour l'obtention d'une convention collective protégeant leur santé", a déclaré dans un communiqué le principal syndicat du secteur, Verdi.

Le syndicat évoque les maux physiques qui frappent les employés des sites où transitent jours et nuits les centaines de milliers de colis commandés en ligne. Des arrêts de travail et des actions sont aussi prévus en Espagne et en Pologne.

Les salariés du plus grand centre logistique d'Amazon en Espagne ont ainsi entamé lundi une nouvelle grève de trois jours pour réclamer une hausse de salaire supérieure à ce que propose le géant américain. 1.200 salariés ont participé au mouvement, soit environ 80 % du personnel du centre de San Fernando de Henares, près de Madrid.

Dans un communiqué transmis à l'AFP, Amazon affirme que "la rémunération totale des travailleurs de San Fernando de Henares se situe dans la fourchette haute du secteur logistique". La aussi les salariés feraient grève pour le plaisir !

Les salariés du centre de San Fernando de Henares avaient déjà fait grève en mars pour les mêmes raisons, pour la première fois depuis l'ouverture du site en 2012.

Les capitalistes avec leurs Etats, leurs partis politiques à leurs soldes vont-ils pouvoir poursuivre leur offensive contre les peuples… Il y a des luttes partout dans les pays européens et dans le monde. Nous sommes solidaires de la lutte des travailleurs de tous les pays, car c’est notre lutte.

En France nous appelons à développer la lutte sans concession contre cette Europe capitaliste. L’heure est à agir sans perdre de temps. C’est cette lutte qui fera avancer les exigences des salariés et non des compromis avec le capital en Europe comme en France.

www.sitecommunistes.org  

 

Les fêtards à quatre balles adorateurs du dieu ballon

 

Les « grands » de ce monde, lors d'une réunion en 1995 à San Francisco  allaient  s'interroger
sur l'
venir de ce qu'ils allaient appeler le 20/80. Pour eux 20% de la population mondiale
pouvait faire tourner l' économie et qu'il fallait se préparer à gérer les 80% de la population
qui s'avérera superflu, ou surnuméraires qu'il faudra «occuper». Et pour maintenir la paix sociale,
Z. Brezinski a proposé le « tittytainment », un mélange d’aliment physique et psychologique qui
endormirait les masses et contrôlerait leurs frustrations et protestations prévisibles.
Nous y voilà en plein dedans, avec l' explosion hystérique d'une population frustrée dont
la frustration est détournée comme à l' époque de la Rome antique, en lui distribuant
« du pain et des jeux »

Panem et circenses (littéralement « pain et jeux du cirque », souvent traduite par « Du pain et des jeux ») est une expression latine utilisée dans la Rome antique pour dénoncer l'usage délibéré fait par les empereurs romains de distributions de pain et d'organisation de jeux dans le but de flatter le peuple afin de s'attirer la bienveillance de l'opinion populaire (politique d'évergétisme)1. L'expression est tirée de la Satire X du poète latin Juvénal, qui lui donne un sens satirique et péjoratif2.

Aujourd'hui, elle est souvent utilisée pour signifier la relation biaisée qui peut s'établir dans ces périodes de relâchement, ou de décadence, entre :

  • une population qui peut se laisser aller, se satisfaire de pain et de jeux, c'est-à-dire de se contenter de se nourrir et de se divertir et ne plus se soucier d'enjeux plus exigeants ou à plus long terme concernant le destin de la vie individuelle ou collective.

  • un pouvoir politique qui peut être tenté d'exploiter ces tendances « à la vie facile et heureuse » par la promotion de discours et de programmes d'action populistes ou court-termistes. » (Wikipédia)

Comme dans les grands moments de la Rome antique le char des champions est entrée dans la capitale via l' arc de triomphe

J'invite tous nos camarades à relire le passage de Stirner dans «L’Unique et sa propriété» « Je n’ai basé ma cause sur rien » texte ci dessous.

Quelle cause n'ai-je pas à défendre? Avant tout, ma cause est la bonne cause, c'est la cause de Dieu, de la Vérité, de la Liberté, de l’Humanité, de la Justice; puis, celle de mon Prince, de mon Peuple, de ma Patrie; ce sera celle de 1'Esprit, et mille autres encore. Mais que la cause que je défends soit ma cause, ma cause à Moi. jamais! « Fi! l'égoïste qui ne pense qu'à lui! »

Mais ceux-là dont nous devons prendre à cœur les intérêts, ceux-là pour qui nous devons nous dévouer et nous enthousiasmer, comment donc entendent-ils leur cause? Voyons un peu.

Vous qui savez de Dieu tant et de si profondes choses, vous qui pendant des siècles avez « exploré les profondeurs de la Divinité » et avez plongé vos regards jusqu'au fond de son cœur, vous pourrez bien nous dire comment Dieu entend la « divine cause » que nous sommes appelés à servir. Ne nous celez point les desseins du Seigneur. Que veut-il? Que poursuit-il? A-t-il, comme ce nous est prescrit à nous, embrassé une cause étrangère et s'est-il fait le champion de la Vérité et de l'Amour? Cette absurdité vous révolte; vous nous enseignez que Dieu étant lui-même tout Amour et toute Vérité, la cause de la Vérité et celle de l'Amour se confondent avec la sienne et ne lui sont pas étrangères. Il vous répugne d'admettre que Dieu puisse être comme nous, pauvres vers, et faire sienne la cause d'un autre. « Mais Dieu embrasserait-il la cause de la Vérité, s'il n'était pas lui-même la Vérité? » Dieu ne s'occupe que de sa cause, seulement il est tout dans tout, de sorte que tout est sa cause. Mais nous ne sommes pas tout dans tout et notre cause est bien mince, bien méprisable; aussi devons-nous « servir une cause supérieure ». — Voilà qui est clair : Dieu ne s'inquiète que du sien. Dieu ne s'occupe que de lui-même, ne pense qu'à lui-même et n'a que lui-même en vue; malheur à ce qui contrarie ses desseins. Il ne sert rien de supérieur et ne cherche qu'à se satisfaire. La cause qu'il défend est purement — égoïste!

 

Et l'Humanité, dont nous devons aussi défendre les intérêts comme les nôtres, quelle cause défend-elle? Celle d'un autre? Une supérieure? Non, L'Humanité ne voit qu'elle-même, l'Humanité n'a d'autre but, que l'Humanité; sa cause, c'est elle-même. Pourvu qu'elle se développe, peu lui importe que les individus et les peuples succom­bent à son service; elle tire d'eux ce qu'elle en peut tirer, et lorsqu'ils ont accompli la tâche qu'elle réclamait d'eux, elle les jette en guise de remerciement dans la hotte de l'histoire. La cause que défend l'Humanité n'est-elle pas purement — égoïste ?

 

Inutile de poursuivre, et de montrer à propos de chacune de ces choses qui nous appellent à leur défense qu'il ne s'agit pour elles que d'elles et non de nous, de leur bien et non du nôtre. Passez vous-mêmes les autres en revue, et dites si la Vérité, la Liberté, la Justice, etc., s'inquiètent de vous autrement que pour réclamer votre en­thou­siasme et vos services. Soyez des serviteurs zélés, rendez-leur hommage, c'est tout ce qu'elles demandent.

 

Voyez ce Peuple que sauvent des patriotes dévoués; les patriotes tombent sur le champ de bataille ou crèvent de faim et de misère; qu'en dit le Peuple? Le Peuple? Fumé de leurs cadavres, il devient un « peuple florissant »! Les individus sont morts « pour la grande cause du Peuple », qui leur envoie quelques tardives phrases de reconnaissance et — garde pour lui tout le profit. Cela me paraît d'un égoïsme assez lucratif.

 

Mais contemplez maintenant ce Sultan qui soigne si tendrement « les siens ». N'est-il pas l'image du plus pur dévouement, et sa vie n'est-elle pas un perpétuel sacrifice pour les siens? Eh! oui, pour « les siens »! En veux-tu faire l'essai? Montre que tu n'es pas « le sien », mais « le tien »; refuse-toi à son égoïsme : tu iras aux galères. Le Sultan n'a basé sa cause sur rien d'autre que sur lui-même; il est tout dans tout, il est l'Unique et ne permet à personne de ne pas être un des « siens ».

 

Ces illustres exemples ne vous suggèrent-ils rien? Ne vous invitent-ils pas à penser que l'Égoïste pourrait bien avoir raison? Pour ma part, j'y vois une leçon; au lieu de continuer à servir avec désintéressement ces grands égoïstes, je serai plutôt moi-même l'Égoïste.

 

Dieu et l'Humanité n'ont basé leur cause sur rien, sur rien qu'eux-mêmes. Je base­rai donc ma cause sur Moi : aussi bien que Dieu, je suis la négation de tout le reste, je suis pour moi tout je suis l'Unique.

 

Si Dieu et l'Humanité sont, comme vous l'assurez, riches de ce qu'ils renferment au point d'être pour eux-mêmes tout dans tout, je m'aperçois qu'il me manque à moi beaucoup moins encore et que je n'ai pas à me plaindre de ma « vanité ». Je ne suis pas rien dans le sens de « rien que vanité », mais je suis le Rien créateur, le Rien dont je tire tout.

 

Foin donc de toute cause qui n'est pas entièrement, exclusivement la Mienne! Ma cause, dites-vous, devrait au moins être la «bonne cause»? Qu'est-ce qui est bon, qu'est-ce qui est mauvais? Je suis moi-même ma cause, et je ne suis ni bon ni mauvais, ce ne sont là pour moi que des mots.

 

Le divin regarde Dieu, l'humain regarde l'Homme. Ma cause n'est ni divine ni humaine, ce n'est ni le vrai, ni le bon, ni le juste, ni le libre, c'est — le Mien; elle n'est pas générale, mais — unique, comme je suis unique. Rien n'est, pour Moi, au-dessus de Moi!

 

 

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