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5 mai 2020

INFOBREF N°538-L'hôpital du futur ressemblera à tout, sauf à ce que l'on connaît aujourd'hui

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Comment le coronavirus en rend à la société

Le titre est amplement inspiré de l' article de Marx « comment le criminel en rend à la société » consultable sur le site archives marxistes

 comment le coronavirus en rend à la société

 -Toutes le habitudes de consommation sont maintenant chamboulées, les cantines, les supermarchés, les restaurants,les marchés...Il en résulte, une baisse de la consommation, et nombre de produits agricoles fautes d' être normalement acheminés vont devenir excédentaires.

 -De nombreuses exploitations agricoles, vont dans toute l' Europe se trouver à faire face à des destructions alimentaires sans précédent, qui à moyen terme feront monter les prix. Les agriculteurs demandent que la commission européenne finance la mise en place de stocks alimentaires.

 -Les travailleurs agricoles et de l' alimentation sont bloqués aux frontières

 -Selon la FAO-Le confinement de près de la moitié de l'humanité en mars a eu un effet immédiat sur les prix mondiaux des produits alimentaires. En un mois, ils ont chuté de 4,3 %, selon l'Organisation des Nations unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO), qui suit chaque mois l'évolution des principaux groupes alimentaires : produits laitiers, viande, sucre, céréales et huiles végétales.

-Lors d’une téléconférence avec le Commissaire européen à l’Agriculture Janusz Wojciechowski au sujet des difficultés rencontrées par les agriculteurs belges impactés par le coronavirus, le Ministre fédéral de l’Agriculture Denis Ducarme et les Ministres régionaux Willy Borsus et Hilde Crevits ont reçu une réponse favorable à leur demande d’activation des mécanismes européens de régulation des marchés tels que l’aide au stockage privé de marchandises.

-La Ministre flamande de l’Agriculture Hilde Crevits : « Nous avons demandé à la Commission européenne de prendre rapidement les mesures de soutien supplémentaires et de débloquer des budgets pour les secteurs qui se sont retrouvés dans une situation particulièrement difficile. Cela concerne concrètement la floriculture, les pommes de terre, la volaille, les produits laitiers et la viande. Dans la mesure du possible, l’Union européenne devrait prévoir un programme de rachat afin que les produits qui ne sont pas vendus à temps puissent être retirés du marché et toujours distribués gratuitement via les banques alimentaires. »



 «L'hôpital du futur ressemblera à tout, sauf à ce que l'on connaît aujourd'hui ! »


Pour ceux qui se font encore des illusions,sur l' emploi dans les hôpitaux, et qu' manne financière de l' Europe pourrait créer des embauches. Voyons un peu comment M

Guy Vallancien, chirurgien et universitaire , membre de l'Académie nationale de médecine et membre de l'Office Parlementaire d'Evaluation des Choix Scientifiques et Technologiques (OPECST), voit l' hôpital du futur.

Pour lui, l'hôpital du futur ressemblera à tout, sauf à ce que l'on connaît aujourd'hui !

On peut imaginer demain un hôpital hors les murs, dans une logique de partenariats ouverts avec les maisons de santé, les libéraux… Les centres hospitaliers seront remplacés par des Groupes médico-universitaires qui inonderont les territoires.

Le recours massif aux technologies médicales, que ce soit les robots chirurgiens, les applications de santé, les outils de la télémédecine  l’imagerie médicale ou simplement les ressources de l’informatique, devra permettre au médecin de déléguer à des techniciens, des infirmières, mais aussi aux malades eux-mêmes, de nombreuses tâches qui lui incombaient jusqu’alors.

En réalité, c' est le tout numérique de Macron, et la mise sur orbite des médecins, plus la mise à contribution des malades. Il prétend que le médecin médecin coupé du malade pourra se recentrer sur son activité. On se demande ce qu'il faisait avant le médecin ( pas d' écoute, pas d' accompagnement …) un distributeur d' ordonnance que le pharmacien peut faire.Les téléconsultations, c'est parti !

« Il pourra ainsi se recentrer sur sa principale activité : l’écoute, l’accompagnement et la décision. Le reste de l’activité médicale, du geste technique au suivi administratif, sera assuré par la technologie elle-même ou par des professionnels du soin non-médecins. L’avènement de ce que j’appelle la “média-médecine” reposera en effet sur la valorisation et l’intégration des métiers paramédicaux, mais aussi sur la création de nouveaux métiers, notamment des opérateurs ingénieurs entièrement dédiés à l’usage des technologies. Pour cela, il est nécessaire de réformer en profondeur le monde médical, depuis la formation de ses acteurs jusqu’à leurs modes de rémunération, en passant par la définition même de leurs rôles respectifs pour impulser une nouvelle dynamique. »

Ensuite il nous fait l' éloge des NTCI

« L’évolution accélérée des technologies bouleverse la médecine et notre système sanitaire. Nous assistons à l’émergence d’une médecine médiatisée par le recours aux capacités de l’ordinateur, que l’on retrouve de la génétique à la robotique chirurgicale, en passant par la télémédecine et les communautés de malades. » 

A la question « Quelles initiatives françaises actuelles dans le secteur de la santé retiennent votre attention ? » il répond :

« Je pense à Bee.buzziness, une société grenobloise qui a développé un modèle de dossier médical personnel exceptionnel de fluidité. Ou encore Theraclion qui a développé des ultrasons thérapeutiques. Ils commencent à vendre leurs appareils à l’étranger mais on leur refuse aujourd’hui la vente en France.

Faut-il avoir peur des avancées technoscientifiques ?

Non ! L’intelligence artificielle, par exemple, est, pour moi, le futur bras droit des médecins. Libérons nos neurones et allons vers plus de créativité, plus d’empathie. N’ayez crainte, la décision restera humaine. Je crois au fait que nous apprendrons à utiliser ses outils, tout en conservant l’essentiel, notre intelligence émotionnelle.

Nous avons les moyens d’une médecine à la fois plus efficace et plus humaine qui assurera ainsi la pérennité du système de santé français. Sachons les saisir, au lieu de nous enfermer dans la défense de routines dépassées.

 (1) centre de recherche en e-santé basé à Paris où seront développés les outils du cabinet et de l'hôpital du futur pour dégager du temps médical au médecin pour fluidifier le parcours de soins des patients.

https://www.industrie-techno.com/article/un-avatar-pilote-par-la-pensee-pour-soigner-les-handicaps.53593

Un avatar piloté par la pensée pour soigner les handicaps

Le CHU de Nantes  en partenariat avec l’École Centrale de Nantes et le groupe international Onepoint viennent de mettre au point un avatar piloté par la pensée pour soigner les patients atteints d’un handicap. Les explications du docteur Vincent Roualdes, neurochirurgien au CHU en charge du projet.

Comment est né ce projet d’avatar ?

Nous travaillons avec Aurélien Van Langhenhove, ingénieur de recherche au CHU, sur des interfaces cerveau-ordinateur depuis 2007, sur différentes thématiques. Nous avons repris notre collaboration en 2013, date à laquelle Aurélien a été intégré au CHU.

Nous avons, l’an passé, présenté à la Nantes digitial week, un projet de drone piloté par la pensée à partir de l’activité cérébrale. Concrètement, il s’agit d’un casque relié à un ordinateur. Des algorithmes permettent ensuite d’analyser en temps réel le signal électrique produit par l’activité cérébrale. Pour ce projet, nous avons adapté des algorithmes existants afin de mettre au point un système robuste capable de contrôler un drone de manière tridimensionnelle avec un large panel de commandes, et accessible à tous.

En parallèle, nous menions notre projet d’avatar. En combinant BCI (interfaces cerveau-ordinateur), intelligence artificielle et design thinking, nous avons développé un système permettant d’analyser l’activité cérébrale d’une personne au moyen d’un casque électro-encéphalographique, et d’interpréter ses “intentions de mouvement” en les retranscrivant grâce à un avatar virtuel avec, à la clé, un réel intérêt thérapeutique.

Quelles sont les débouchés possibles ?

Les débouchés dans le domaine médical sont nombreux : traitement des douleurs de membres fantômes ou encore gestion des handicaps. Cette expérimentation permet d’étudier la vitesse de rééducation et l’acceptation des traitements par les patients, voire même de proposer des exercices thérapeutiques aux personnes souffrant de troubles neurologiques.

Néanmoins, les systèmes non invasifs comme les casques ont des limites majeures liées à la qualité du signal. Un dispositif intracrânien permet d’obtenir beaucoup plus d'informations. Nous estimons que, techniquement, ces applications médicales ne seront pas opérationnelles avant cinq ans. Les délais sont longs. Mais cela s’explique par la rigueur nécessaire et imposée par la réglementation sur la recherche clinique. Nous allons lancer des essais cliniques en 2019.

Nous sommes aujourd’hui en contact avec le CHU de Grenoble Alpes qui a développé un implant cérébral en phase d’essais cliniques.

Comment imaginez-vous l'hôpital du futur ?

Il est difficile d’avoir une vision précise. L’explosion technologique sera exponentielle dans les 15 prochaines années. Pour moi, l'hôpital du futur va axer une grande partie de ses activités sur la prévention. La big data permettra d’anticiper les maladies grâce à l’intelligence artificielle. Seront conservées dans l’hôpital tel qu’on le connaît aujourd’hui : la maternité et la traumatologie. Le médecin aura un rôle finalement plus humain qui permettra plus de créativité et moins de routine.

Des innovations au service des malades et des soignant.e.s

Des humanoïdes pour tenir compagnie aux patients, stimuler leur cerveau, favoriser l’interaction sociale… Un “robot conversationnel” (ou chatbot) capable d’échanger par SMS avec les patients avant et après leur hospitalisation en ambulatoire. Des lunettes de réalité virtuelle pour soulager la douleur ou traiter des phobies.

pour mutualiser le plus grand nombre de données génomiques provenant d’experts du monde entier pour créer une intelligence collective et participer au diagnostic de milliers de patients… La liste des innovations technologiques au service de la médecine est longue.

Le monde médical de demain commence aujourd’hui et bouleverse déjà les usages des soignant.e.s et des malades.

Dossier réalisé par Paquerette Grange

Des antennes relais vont-elles pousser aux quatre coins de la France pendant le confinement ? Telle est la crainte de plusieurs associations de lutte contre les ondes à la lecture des ordonnances de la loi d’état d’urgence sanitaire.

Face à l’accroissement de l’utilisation d’internet, les opérateurs de téléphonie pourront adapter les « procédures applicables pour garantir la continuité du fonctionnement des services et de ces réseaux ». En clair : rajouter de la bande passante là où le web sature sans avoir besoin des autorisations habituelles. « Il s’agit de pouvoir intervenir en urgence pour rétablir l’intégrité du réseau dans cette période inédite de confinement, en installant des équipements à titre temporaire qui devront être démontés au plus tard dans les deux mois post état d’urgence sanitaire », assure à Reporterre la Fédération française des télécoms.

Suppression de l’obligation d’information des maires

Le premier article concerne les maires : il suspend « l’obligation de transmission d’un dossier d’information au maire ou au président d’intercommunalité en vue de l’exploitation ou de la modification d’une installation radioélectrique ». Terminé les dossiers d’information (DIM) à envoyer d’ordinaire aux mairies un mois avant toute installation. Cette mesure n’étonne pas vraiment l’association des maires de France. « Toutes les mairies ne sont pas en état de fonctionner normalement. Même si elles recevaient le DIM, elles n’auraient pas été en capacité d’assurer cette obligation d’information auprès des citoyens », explique une représentante de l’organisme.

Mais Sophie Pelletier, présidente de Priartem, association qui travaille sur les risques liés à l’exposition aux ondes électromagnétiques, s’inquiète. « Cette situation annihile la capacité des collectivités à assurer l’information et l’instruction des dossiers qui leur seraient adressés, ainsi que les droits des citoyens à participer et les droits des tiers à exercer un recours », a-t-elle déclaré dans une lettre envoyée au président du comité de dialogue de l’Agence nationale des fréquences (ANFR), le gendarme des ondes, co-signé avec France nature environnement, Agir pour l’environnement et l’association de consommateurs Cnafal.

L’ANFR, le gendarme des fréquences, est aussi mis sur la touche

Comment s’assurer que les opérateurs respecteront les règles, alors que l’ANFR, le gendarme des ondes, ne peut plus exercer de contrôles en amont ? Les ordonnances autorisent en effet un exploitant à implanter une station radioélectrique sans son accord. Habituellement, l’agence reçoit environ 1.500 demandes par semaine et vérifie chaque dossier, en regardant notamment la proximité avec des établissements scolaires. Elle consulte aussi les « grands usagers des fréquences » comme les ministères de la Défense (pour éviter les perturbations avec les radars), du Transport, ou de la Recherche (pour l’astronomie). « La grande majorité des dossiers est autorisé car les opérateurs n’ont pas d’intérêt à ce que le système se grippe et procèdent souvent à leurs propres vérifications avant », explique Gilles Brégant, le directeur de l’ANFR. Les demandes sont traitées en cinq semaines environ. Un délai que le gouvernement estime beaucoup trop long face à l’urgence. « Aujourd’hui, avec le télétravail, les antennes qui couvrent les domiciles sont très sollicitées. Des ajustements doivent être faits immédiatement, il est absurde d’attendre cinq semaines », poursuit Gilles Brégant.

Les installations seront-elles retirées une fois la pandémie terminée ?

Dans le texte de l’ordonnance, il est précisé que ces mesures sont prises « à titre temporaire et dans le cadre d’interventions urgentes ». Or, un document soumis à la délibération du conseil des ministres indique que les opérateurs pourront régulariser ces installations dans un délai d’un mois après la fin de l’état d’urgence pour les mairies et de trois mois pour l’ANFR. « Bien que ce texte soit sans valeur juridique, il peut apporter des éclairages sur l’esprit des ordonnances. Ces installations pourront donc perdurer après l’état d’urgence. Nous allons veiller à ce que cela ne favorise pas la dérégulation de l’implantation des antennes-relais », s’alarme Sophie Pelletier, de Priartem.

Robin des Toits, autre association de lutte contre les ondes, estime que le gouvernement profite de la pandémie pour déréglementer la téléphonie mobile « au risque de l’accroissement des problèmes sanitaires qui y sont liés. On peut légitimement douter, au vu des expériences passées, que les installations réalisées durant cette période soient retirées lorsque cette période sera achevée », a-t-elle déclaré dans un communiqué.

L’ANFR va continuer ses contrôles

Les opérateurs vont-ils profiter de l’occasion pour multiplier les antennes relais ? Gilles Brégant demeure circonspect : « Je ne sais pas s’ils ont forcément envie d’investir durablement pour une configuration de réseau qui correspond à un pays en confinement. » D’autant que construire une antenne relais nécessite l’intervention d’entreprises du bâtiment, dont beaucoup subissent aussi des mesures de confinement. En revanche, il est très facile d’augmenter la capacité des installations déjà existantes. « Activer une nouvelle bande de fréquence peut se faire en quelque minute si l’antenne est déjà équipée », précise Gilles Brégant. En tout cas, il précise que tout ceci n’accélèrera pas le déploiement de la 5G, dont le processus d’attribution des licences a été décalé. Et assure que l’ANFR continue son travail de contrôle. « Si on commence à avoir des stations pirates, nous ne pouvons plus garantir le bon fonctionnement du réseau. Il n’est pas question de modifier les contrôles, qui sont réalisés a posteriori. Je pense que collectivement tout le monde sera vigilant pour être sûrs que tout cela soit conforme aux règles que nous nous sommes fixé depuis plusieurs années. » Précisons également que l’ANFR peut à tout moment, par un simple courriel, désactiver une antenne qui ne respecterait pas la législation en vigueur ou viendrait perturber l’environnement hertzien. « Ce n’est pas un pouvoir théorique, et il m’est déjà arrivé d’arrêter une antenne qui brouillait la réception de la télévision. Et cela pourrait arriver à nouveau dans les semaines qui vont venir », prévient Gilles Brégant. Une épée de damoclès qui pourrait inciter les opérateurs à plus de sagesse.

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 Chers amis et camarades,

La question de l’approvisionnement de nourriture comme de la faim et des menaces de famine dans un nombre de pays se pose pour l’humanité (sauf la petite minorité de ceux qui profitent de la spéculation sur les aliments et qui ont fait un monde de pays ultra-riches et autres ultra-pauvres).

Si dans une vingtaine de pays la question devient très grave, en France on a déjà du mal à trouver certains produits essentiels tels la farine. Avec l’arrêt de l’immigration de travailleurs saisonniers, le Vade Retro Satanas ! de la démagogue ML Pen, il existe aussi une menace de renchérissement des denrées tels les fruits et légumes.

Je vous propose un article qui traite la question bien que surtout la situation des pays le plus pauvres de la planète. Et cela en général, car, toutes les sociétés même le plus riches subissent la malédiction de la division de classes et tant là-bas comme ici il y a de super riches qui profitent de la pénurie pour s’enrichir pendant que la majorité de la population travailleuse et/ou pauvre, subi encore … jusqu’à sa révolte nécessaire.

Mais la révolte sans guide, sans pensée directrice, sans organisation consciente, n’est qu’un feu de paille qui dure un certain temps et est réprimé brutalement pour faire revenir les insurgés mais pas organisés ni complètement conscients aux « temps normaux » affreux, car l’horreur est devenue le quotidien pour beaucoup des humains.

Je vous propose aussi, pour ceux qui s’intéressent, une interview d’un écrivain et homme politique britannique, A. Woods, sur les 150 ans de la naissance de Lénine. Peut-être la figure historique, théorique et politique qui a le plus influencé le XX siècle et est encore un guide intellectuel pour beaucoup de travailleurs.

La bourgeoisie et ses plumitifs ont déversé des tonnes d’ordures sur sa tête et son œuvre théorique et pratique et la déformation historique occupe encore des bataillons « d’intellectuels » qui en vivent. Mais il ne s'attaquent jamais à son oeuvre théorique qui est un trésor pour tout travailleur qui cherche à s'émanciper.

Je vous propose donc cette interview, un peu longue que j’ai « accommodée » pour la raccourcir et éviter les reflexes trop sectaires. Le procédé est un peu cavalier je l’avoue, mais quand même, les gens devraient connaître le fameux dicton de Bazán « Lo bueno si breve, dos veces bueno » (« Ce qui est bon, si court, deux fois bon »)

Bonne lecture et bonne santé.

AQ

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