Mémoires de Wilhem Gengenbach

Amis lectrices et lecteurs de L’Ouvrier,

Depuis 2006, nous contribuons à l’édition des mémoires de Wilhem Gengenbach, dit Willy
(1914-2002), que nous avons connu à la suite de la grève de Décembre 1995 et qui est resté
un ami et un camarade jusqu’à sa mort en 2002.
- Le premier tome Face au fascisme allemand relatait son enfance difficile de
« batard », la rencontre décisive d’ouvriers qui l’ont gagné au communisme des
spartakistes, puis sa vie de jeune militant en Allemagne de 1929 à 1933. Après un
séjour terrible au camp de Börgermoor, les menaces qui planent sur lui l’amènent à
passer la frontière avec la Belgique.
- Le second tome A l’école de l’exil (1933-1934) décrivait sa découverte de la vie en
France : les communistes minimisent le danger fasciste, les responsables du parti
communiste allemand abusent de leur pouvoir, le parti communiste français est
terriblement nationaliste. Willy garde son esprit critique pour comprendre et agir, il
noue des relations fortes avec des ouvriers qui l’adoptent comme l’un des leurs.
Nous sommes heureux de vous annoncer la parution du 3ème et avant-dernier tome :
WILHELM GENGENBACH, Quand le capitalisme vire au fascisme
(1934-1940) aux Editions ACRATIE (510 pages)

- Dans cet ouvrage, Willy nous raconte son quotidien partagé avec Denise, jeune
ouvrière combative engagée dans les grèves précédant le front populaire. Là encore,
Willy expose ses réflexions qui, loin de glorifier cette période de conquêtes sociales,
montrent comment les appareils (partis, syndicats) ont endormi la classe ouvrière
française.
Vous pouvez dès à présent obtenir ce volume de plusieurs façons :
• En le commandant à l’adresse de l’éditeur :
ACRATIE, L’Essart 86310 La Bussière
Chèque à l’ordre de ACRATIE : 20 euros, frais d’envoi compris
• En le commandant à notre adresse de L’OUVRIER :
L’OUVRIER BP 64 – 94202 IVRY/SEINE
Chèque à l’ordre de L’OUVRIER : 20 euros, frais d’envoi compris
• En le demandant, en le commandant, à votre libraire préféré
(en lui précisant « Pollen diffusion »), où il est vendu 25 euros.
Bonne lecture
Le 4/10/2020, L’OUVRIER