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19 décembre 2023

ACTIONS ET INFORMATIONS ANTI-GUERRE décembre 2023

 

 

Ukraine announces ambitious plan to produce 1 million FPV drones

 

Ukrainian President Volodymyr Zelensky has unveiled an ambitious plan for the upcoming year, declaring

thenation’s intent to manufacture a staggering one million FPV (First-Person View) drones.

Traduction ordinateur

Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a dévoilé un plan ambitieux pour l’année à venir, déclarant l’intention 
du pays de fabriquer un million de drones FPV (First-Person View).
L’initiative ukrainienne visant à accroître de manière aussi significative la production de drones FPV revêt une importance stratégique
au milieu des préoccupations persistantes en matière de sécurité du pays. L’accélération rapide de la fabrication de drones s’aligne sur
les efforts du pays pour renforcer ses capacités défensives, en améliorant la surveillance, la reconnaissance et les capacités offensives
potentielles sur divers fronts
.L’augmentation prévue de la production de drones FPV témoigne de la détermination de l’Ukraine à exploiter
une technologie de pointe pour les applications militaires. Avec ces drones équipés à la fois pour la collecte de renseignements et pour
des rôles de combat, cette décision vise à amplifier le potentiel militaire de l’Ukraine, renforçant ainsi sa position dans un paysage
géopolitique de plus en plus complexe.L'annonce, faite lors d'une conférence de presse résumant les réalisations de 2023 à l'intention
des médias locaux et internationaux. Exprimant une perspective positive quant à l'expansion de la fabrication de drones, le président Zelensky
a souligné la nécessité de développer une infrastructure spécialisée pour une gestion efficace des drones. Cette décision vise à renforcer les
capacités technologiques de l'Ukraine et à exploiter le potentiel des drones FPV à diverses fins stratégiques.

Dylan Malyasov

Dylan Malyasov is the editor-in-chief of Defence Blog. He is a journalist, an accredited defense advisor, and a consultant. His background as a defense advisor and consultant adds a unique perspective to his journalistic endeavors, ensuring that hisreporting is well-informed and authoritative. read more

https://defence-blog.com/roshel-delivers-1000th-senator-armored-vehicle-to-ukraine/

Roshel delivers 1,000th Senator armored vehicle to Ukraine

150 armes nucléaires américaines présentes en Europe
 Washington, le 17 juillet (Latin Press) La révélation selon laquelle les États-Unis détiennent quelque 150 armes nucléaires dans cinq pays européens confirme un secret de longue date, selon un article du Washington Post.

Selon le journal, un document publié puis retiré par un affilié de l'Organisation du Traité de l'Atlantique Nord (OTAN) a fait la une des journaux du soi-disant vieux continent en faisant référence au stockage d'armes nucléaires américaines en Belgique, en Allemagne, en Italie, aux Pays-Bas et en Turquie. En avril, une version du texte intitulée Une nouvelle ère pour la dissuasion nucléaire est sortie ? Modernisation, maîtrise des armements et forces nucléaires alliées, rédigé par un sénateur canadien de la Commission de défense et de sécurité de l'Assemblée parlementaire de l'OTAN.

D'après ce rapport, une brève référence à l'emplacement de l'armement susmentionné, qui est situé dans six bases : Kleine Brogel (Belgique), Büchel (Allemagne), Aviano et Ghedi-Torre (Italie), Volkel (Pays-Bas) et Incirlik (Turquie), a retenu notre attention, selon le quotidien belge De Morgen hier.

Le rapport original n'attribue cette information à aucune source et, la semaine dernière, une version finale a été publiée en ligne, dans laquelle la référence spécifique à l'endroit où les bombes sont stockées est omise et ne fait que vaguement allusion aux aéronefs qui pourraient transporter des armes nucléaires.

De l'avis du Post, en règle générale, ni les États-Unis ni leurs partenaires européens ne discutent de l'emplacement des armes nucléaires de Washington sur le continent.

Nous ne commentons pas les détails du dispositif nucléaire de l'OTAN ", a déclaré un responsable de l'OTAN qui a pris la parole sous couvert de l'anonymat.

Cependant, plusieurs médias européens ont considéré le rapport comme la confirmation d'un secret de Polichinelle. Enfin en noir et blanc : il y a des armes nucléaires américaines en Belgique ", a déclaré M. De Morgen, tandis que la radio néerlandaise RTL News a affirmé que l'OTAN " a révélé le secret le plus mal gardé aux Pays-Bas.

Kingston Reif, directeur de la politique de désarmement et de la réduction des menaces pour l'Arms Control Association, a déclaré au Post dans un courriel que la présence d'armes nucléaires américaines en Europe n'est pas une surprise. Il s'agit là d'un savoir très ouvert depuis longtemps.

L'emplacement de l'armement, ont souligné les médias, découle d'un accord conclu dans les années 60 et est fondamentalement un vestige de la guerre froide, conçu non seulement pour dissuader l'Union soviétique, mais aussi pour convaincre les pays qu'ils n'ont pas besoin de leur propre programme nucléaire.

Mais les changements géopolitiques survenus depuis soulèvent de nouvelles questions au sujet de ces dispositifs et, l'an dernier, un rapport de l'Initiative contre la menace nucléaire a mis en garde contre les risques pour la sécurité, la crédibilité et les coûts politiques et financiers de la poursuite de ces stocks.
 

source :  https://www.prensa-latina.cu/index.php?o=rn&id=291423&SEO=revelan-ubicacion-de-150-armas-nucleares-de-ee.uu.-en-europa

 

La Maison-Blanche parle d’une crise de financement dans la guerre contre la Russie en Ukraine

L’urgence financière survient après l’échec cuisant de l’offensive militaire ukrainienne contre les défenses russes dans le sud.

Lire plus WSWS

L’invasion russe, réactions de l’ONU

27 novembre 2023

Le Directeur exécutif adjoint chargé de l’action humanitaire et des opérations d’approvisionnement de l’UNICEF a souligné à la suite d’une visite en Ukraine, la nécessité urgente de poursuivre l’action humanitaire dans les zones touchées par le conflit et de placer les enfants au premier plan des efforts de redressement et de reconstruction. Lire plus

21 novembre 2023

Un tournant historique a été atteint dans la guerre en Ukraine avec la mort de plus de 10 000 civils, a déclaré un haut responsable des Nations Unies devant le Conseil de sécurité, le bilan humain de cette guerre risquant encore de s’alourdir. Lire plus

Biden annonce des mesures pour sécuriser les chaînes d’approvisionnement en vue d’une troisième guerre mondiale

Tom Hall 29 novembre 2023
  • Lundi matin, le gouvernement Biden a annoncé une batterie de presque 30 nouvelles mesures visant à sécuriser les chaînes d’approvisionnement américaines. L’une de ces mesures est la création d’un nouveau Conseil de la Maison-Blanche sur la résilience de la chaîne d’approvisionnement, qui s’est réuni plus tard dans l’après-midi.

La Maison-Blanche présente ces mesures comme visant à réduire les coûts pour les consommateurs américains. En réalité, elles visent à réorganiser des chaînes d’approvisionnement rendues vulnérables par la marche de l’impérialisme américain vers la Troisième Guerre mondiale. La rapidité avec laquelle ces mesures ont été annoncées et sont apparemment mises en pratique est un avertissement: après avoir fomenté la guerre entre l’Ukraine et la Russie et soutenu le génocide israélien en cours dans la bande de Gaza, Washington se dirige rapidement vers l’ouverture d’un troisième front, cette fois contre la Chine.

Il est significatif que le nouveau Conseil de la Maison-Blanche inclue presque tous les cabinets ministériels, y compris des postes de haut niveau dans l’appareil militaire et de renseignement, comme les ministres de la Défense et de la Sécurité intérieure, le conseiller à la Sécurité nationale et le directeur du Renseignement national.

Comme c’est l’usage dans les discours présidentiels américains sur l’économie, le discours d’ouverture de Biden devant le Conseil a donné une image n’ayant rien à voir avec la réalité. Tout en affirmant qu’il y avait encore «du travail à faire», le président a prétendu que, grâce à la politique de son gouvernement, l’économie américaine avait créé des millions d’emplois, que les salaires avaient augmenté et que le taux d’inflation avait baissé de deux tiers.

En réalité, l’objectif premier de la politique économique de Biden est de freiner la croissance des salaires et de provoquer une hausse du chômage en augmentant les taux d’intérêt. Une autre pièce maîtresse de sa politique consiste à travailler avec la bureaucratie syndicale pro-entreprise pour bloquer les grèves visant à obtenir des hausses de salaire supérieures à l’inflation.

Un article de Bloomberg publié le même jour donne une idée de la réalité. «Les consommateurs américains doivent supporter un fardeau sans précédent depuis des décennies, alors même que le rythme des hausses de prix s’est ralenti», rapporte ce média économique. «Et les données gouvernementales qui font état d’une baisse de l’inflation ne sont pas d’un grand réconfort, car elles indiquent simplement que les prix augmentent à un rythme plus lent, et non qu’ils reviennent au niveau du début de l’année 2020 ».

Les augmentations de salaire avaient été presque entièrement annulées par l’inflation, constate Bloomberg. «Dans le même temps, l’accessibilité au logement n’a jamais été aussi mauvaise, les taux des prêts automobiles ont grimpé en flèche et emprunter avec une carte de crédit n’a jamais été aussi cher».

L’explication publique donnée par la Maison-Blanche des nouvelles mesures prétend à tort que l’inflation record des trois dernières années est principalement due à des pénuries causées par des problèmes de chaîne d’approvisionnement, comme l’embouteillage massif des ports de la côte-ouest fin 2021. En réalité, les données officielles montrent que le principal moteur de l’inflation a été l’augmentation des profits, qui ont atteint des niveaux record durant la pandémie en raison de la politique visant à protéger les grands trusts au détriment des vies humaines. Entre autre le plan de sauvetage à hauteur de billions de dollars adopté dans les premiers mois de la pandémie et l’arrêt prématuré des mesures sanitaires au nom de la protection de «l’économie».

Aucune des nouvelles mesures ne vise à refréner les profits, même de manière limitée ou pour la forme. La seule reconnaissance du problème par Biden est intervenue aux deux tiers de son discours, lorsqu’il a adressé aux patrons des trusts une faible remontrance les invitant à baisser leurs prix.

La campagne de Biden visant à sécuriser les chaînes d’approvisionnement est subordonnée à une guerre plus large contre la classe ouvrière. Depuis son entrée en fonction, son gouvernement est intervenu de façon inédite dans les négociations contractuelles d’industries-clés comme les docks, les raffineries de pétrole, UPS et l’industrie automobile. Mais son intervention la plus notoire fut celle ayant permis d’interdire une grève du rail l’an dernier et d’imposer un contrat que les cheminots avaient rejeté. Dans chacun des cas, Biden, qui se décrit comme le président le plus «pro-travail» de l’histoire américaine, s’est fortement appuyé sur la bureaucratie syndicale pour étouffer l’opposition des travailleurs de la base et imposer des contrats qui maintenaient les hausses de salaire sous le taux d’inflation.

Le président Joe Biden signe une loi annulant le droit démocratique de grève des cheminots, dans la salle Roosevelt de la Maison-Blanche, le vendredi 2 décembre 2022, à Washington. Avec Biden on voit, de gauche à droite, Celeste Drake du Bureau de la gestion et du budget, le directeur du Conseil économique national Brian Deese, un ex-manager de Blackrock (le plus grand gestionnaire d’actifs de la planète), le ministre de l’Agriculture Tom Vilsack, le ministre des Transports Pete Buttigieg et le ministre du Travail Marty Walsh. [AP Photo/Manuel Balce Ceneta]

Le ministre des Transports, Pete Buttigieg, a fait une allusion voilée à la politique du gouvernement visant à forcer les travailleurs à supporter le fardeau des «chaînes d’approvisionnement» dans ses remarques au Conseil ; il a remercié les travailleurs de s’être «mobilisés» pour rattraper les retards dans les chaînes d’approvisionnement – en réalité, les heures supplémentaires et les accélérations de cadences qu’on leur a imposées dans la foulée de la pandémie.

 

Les nouvelles initiatives de la Maison-Blanche se répartissent en deux grandes catégories. La première concerne les mesures visant à créer de nouveaux blocs commerciaux dominés par les États-Unis et dirigés contre des rivaux clés comme la Russie et la Chine. La seconde vise à sécuriser les chaînes d’approvisionnement nationales, en particulier celles qui sont essentielles à l’armée, notamment en supprimant la lutte des classes à l’intérieur.

La première catégorie comprend une série de systèmes d’«alerte précoce» en cas de perturbation de la chaîne d’approvisionnement, mis en œuvre dans le cadre d’accords existants avec l’Union européenne, le Japon, la Corée, le Mexique, le Canada et l’Australie. La Maison-Blanche a également mis en avant le nouveau «cadre économique inde-pacifique pour la prospérité», une initiative de bloc commercial lancée l’année dernière, incluant 13 alliés des États-Unis et excluant la Chine, la deuxième économie de l’Inde-Pacifique derrière les États-Unis.

La Maison-Blanche a encore pointé une série de mesures commerciales en Amérique latine, qui visent à préserver le maintien de la domination sur l’«arrière-cour» américaine.

Ces mesures doivent s’accompagner d’initiatives visant à «relocaliser» la production, des pays à bas salaires vers les États-Unis. Par exemple, la Maison-Blanche a annoncé qu’elle invoquerait la loi sur la production de défense (DPA) pour augmenter la production nationale de «médicaments essentiels». La DPA, une mesure datant de la guerre froide, a également été utilisée par le président Trump en 2020 pour forcer les usines de conditionnement de viande à rester ouvertes pendant la pandémie – l’un des rares décrets de l’ère Trump que Biden n’a pas annulés.

En présentant ces mesures à la réunion du Conseil, Biden a tenté de surpasser «l’Amérique d’abord» de Trump, en déclarant que les républicains voulaient revenir au «mauvais vieux temps», où la production était délocalisée à l’étranger à la recherche de la main-d’œuvre la moins chère. Aujourd’hui, a-t-il dit, «nous n’importons rien, sauf ce que nous ne fabriquons pas». En réalité, le développement de la production nationale repose sur une réduction maximale des coûts de main-d’œuvre aux États-Unis mêmes.

Biden a également réitéré une fausse affirmation antérieure selon laquelle l’inflation était causée par les manipulations de «compagnies maritimes étrangères», dans une tentative permanente de réorienter les tensions sociales nationales vers un ennemi étranger.

Tant le discours de Biden que le communiqué de presse de la Maison-Blanche accordaient une grande attention à l’accès aux semi-conducteurs, un composant essentiel de tous les ordinateurs. Biden a averti que la part de marché des États-Unis dans le domaine des semi-conducteurs était tombée de 40 pour cent à 10 pour cent et il a évoqué une série de mesures destinées à stimuler la production nationale.

La grande majorité des semi-conducteurs produits dans le monde proviennent de l’île asiatique de Taïwan. Les États-Unis tentent délibérément de fomenter une guerre avec la Chine au sujet de Taïwan en faisant naviguer des destroyers dans le détroit de Taïwan et en soutenant les factions les plus belliqueuses de l’establishment politique taïwanais. Un général américain de haut rang a récemment prédit qu’une telle guerre, impliquant un grand nombre de troupes américaines, pourrait éclater dans les deux prochaines années.

La Taïwan moderne, officiellement connue sous le nom de République de Chine, a été fondée par les seigneurs de la guerre soutenus par les États-Unis, qui ont perdu la guerre civile chinoise en 1949 et se sont réfugiés sur l’île sous la protection de la marine américaine. La Chine considère Taïwan comme une province rebelle. La reconnaissance par Washington dans les années 1970 de la République populaire comme seul gouvernement légitime de toute la Chine avait servi de base à la normalisation de ses relations avec la Chine continentale. Cette politique est aujourd’hui pratiquement abandonnée, les États-Unis s’efforçant de rétablir des liens officiels avec Taïwan et se déclarant prêts à envoyer des troupes et des navires américains en cas de guerre.

En d’autres termes, les États-Unis cherchent à protéger l’accès à cette ressource clé, qui serait coupée dans le cas d’une guerre qu’ils attisent délibérément. Dans le même ordre d’idées, la Maison-Blanche a également mis l’accent sur de nouvelles mesures visant à sécuriser l’approvisionnement en engrais, dont l’Ukraine et la Russie sont deux des plus grands producteurs mondiaux.

D’autres mesures ne laissent aucun doute quant à l’objectif militaire de l’ensemble de ces politiques. C’est le cas de la nouvelle stratégie industrielle de défense nationale, que la Maison-Blanche présente comme venant s’ajouter aux 714 millions de dollars investis cette année dans le cadre de la Loi sur la production de défense (Defense Production Act). Le gouvernement va également créer un nouvel outil de cartographie des chaînes d’approvisionnements «pour analyser les données des fournisseurs de 110 systèmes d’armes», qui sera également utilisé «pour développer des scénarios de simulation de la base industrielle de défense afin d’identifier les vulnérabilités et de développer des stratégies d’atténuation».

Il ne fait aucun doute que l’un des facteurs à l’origine de ce nouvel outil est l’inquiétude suscitée par le soutien croissant à des grèves pour mettre un terme à la fourniture d’armes à Israël.

La Maison-Blanche vante également d’autres nouvelles «capacités intergouvernementales de partage de données sur la chaîne d’approvisionnement» qui peuvent être utilisées pour «coordonner une fonction de surveillance de la chaîne d’approvisionnement critique plus complète, à l’échelle du gouvernement». Selon le communiqué de presse, certains de ces outils s’appuieraient sur des technologies émergentes d’intelligence artificielle.

De manière inquiétante, le communiqué de presse indique encore que le ministère de la Sécurité intérieure met en place un nouveau «Centre de résilience de la chaîne d’approvisionnement» dont les «priorités à court terme» comprennent «la gestion des risques de la chaîne d’approvisionnement résultant de menaces et de vulnérabilités à l’intérieur des ports américains [accentuation ajoutée]».

Le choix des mots – menaces «à l’intérieur» des ports américains – n’est pas accidentel. Il signifie que ce centre vise à empêcher les grèves comme celles que les dockers ont menés l’année dernière sur la côte ouest, au mépris de la bureaucratie syndicale qui travaillait avec l’administration Biden pour maintenir les travailleurs au travail sans nouveau contrat. D’autres manifestations importantes ont temporairement interrompu le travail sur les quais, notamment les protestations des camionneurs indépendants en Californie l’année dernière et les manifestations organisées au début du mois pour empêcher un navire transportant des armes destinées à Israël de quitter le port d’Oakland.

Ces nouvelles mesures doivent être considérées comme un avertissement que les préparatifs de nouvelles guerres catastrophiques sont bien plus avancés que ce qu’on en a dit au public. Elles doivent être stoppées par un mouvement de la classe ouvrière qui, comme toujours, devra en porter le coût, en argent et en vies humaines.

(Article paru d’abord en anglais le 28 novembre 2023) S’inscrire à la Newsletter du WSWS

 

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